dimanche 9 mai 2010

Un espace de courbes

La température comme la vitesse n'est que la mesure globale d'un déplacement à somme nulle (il n'est pas pareil de faire des aller-retours rapides, ce qui donne une température, que de rester immobile, l'énergie, on le voit, n'est pas la même...).

C'est effectivement un déplacement dans l'espace et le temps selon une description causale particulière, définie dans un repère à 4 dimensions.

Si par contre je la décris comme une observation dans un espace à 5 dimensions entre l'observateur et son objet d'observation, je décris une causalité différente, où je dois tenir compte non plus d'une vitesse 4-dimensionnelle, mais d'une vitesse 5-dimensionnelle comprenant 4 dimensions globales et une locale, qui se définit par rapport aux dimensions globales, comme étant le temps propre de l'objet considéré, ou à minima une combinaison d'espace-temps propre de l'objet considéré, dimension pseudo-libre mais exactement comme le sont l'espace et le temps en RG, qui ne sont pas totalement libres l'un par rapport à l'autre.

Exactement comme si au lieu d'avoir des plans superposés pour décrire l'Univers, je définis un enchevêtrement de courbes unidimensionnelles finies, ayant un début et une fin et qui correspondent à l'Histoire de vie de l'objet considéré. Les plans ne sont alors plus que la manifestation d'une projection 4 dimensionnelle de cet espace de courbes finies.



Ce temps propre de l'objet considéré a un début et une fin, correspondant à la naissance et à la fin de l'objet, comme pouvant être défini par des caractéristiques considérées comme équivalentes entre ces deux extrêmes. Ces notions, si l'on pousse le relativisme jusqu'à ses conséquences ultimes sont dépendantes de l'observateur, et il ne faut pas s'étonner, si, étant donné des trajectoires ou des conditions propres trop éloignées, deux observateurs n'arrivent pas à se mettre d'accord sur ces extrémités, ni même sur la qualité "d'objet" pseudo-indépendant d'observation.

Deux observateurs n'arriveront ainsi à un consensus, que s'ils sont peu ou prou dans le même pseudo-espace-temps relatif, à des températures équivalentes.

Et selon les changements de vitesse et/ou de température subies par cet objet, le temps propre associé change plus ou moins rapidement par rapport au temps global de référence (horloge de référence de l'observateur).

Il nous faut alors changer les concepts !

Quand la courbe liée à l'observateur, considère un "même" objet qui change de température, il doit considérer alors que cet objet avance ou recule par rapport à son horloge, qu'il va donc dans le futur quand il chauffe, et qu'il reste "skotché" dans le passé s'il refroidit.

Les trajectoires des objets, et toutes leurs relations causales n'ont alors plus rien à voir !!! C'est toute l'approche générale de l'objet même, qu'il convient de ramener à de simples points inclus dans des courbes finies PREDEFINIES !!!

vendredi 23 avril 2010

La RG et la MQ sont incompatibles

RG et MQ sont incompatibles parce que la relativité du temps et de l'espace n'est pas compatible avec l'absolutisme particulaire...

Reprenons. Si l'objet électron est parfaitement défini en MQ et ne saurait être autre chose qu'un électron, quand bien même pour en décrire parfaitement la nature et ses liens causaux, on fait appel à des notions de présence probabiliste et de "sauts quantiques" quant à ses définitions de mesure, qui en "floutent" les contours...

Mais par ailleurs la RG nous explique parfaitement qu'Espace et Temps étant relatifs, on doit admettre que pour toute portion d'espace finie dans un repère, il existe toujours un repère pour lequel cette portion d'espace sera à considérer comme très petite, ou très grande, avec des horloges parfaitement différentes, et pour tout dire une relation géométrique entre les points totalement changée. Cet électron initialement défini, n'a plus de propriété mesurable selon des repères bien choisis.

Pourtant la démarche de la RG n'est pas complète quand on tempère son relativisme lorsqu'il s'agit d'approcher des singularités inévitables que sont les trous noirs, et de façon plus générales, les conditions aux limites, qu'il amène à réifier ("Il y a" un "Big Bang", et "il y a un "trou noir").

Il y a donc un chemin où il faut aller pour dépasser ces contradictions apparentes entre "ce qui est" et "ce qui est relatif", en poussant la démarche jusqu'à ses conséquences ultimes, "Tout ce qui est, est relatif", à savoir que le contenant est relatif au contenu, et le contenu est relatif au contenant, l'arbitre étant l'observateur et sa propre trajectoire spatio-temporelle qui in-fine est unique, et totalement relative elle aussi.

Il ne suffit donc pas de transformer les Lois de la Physique qui ne sont qu'une transformation incomplète entre deux repères définis par deux observateurs sur deux trajectoires différentes, mais il faut définir une transformation des contenus, à savoir les objets mêmes de la physiques qui ne sont pas réifiables comme "brique de base" de la réalité, mais parfaitement relatifs au système de motivation et à l'histoire phénoménale observée.

Cette histoire phénoménale observée est relative, et constitue la trame de la description causale qui induira la théorie déduite, dont la forme dépendra pour l'essentiel du CHOIX des objets ET du contenant souhaités pour cette démarche.

vendredi 12 février 2010

Système formel et motivation

Tout système formel est le produit d'une motivation donnée. Par ailleurs Gödel nous démontre par son théorème d'incomplétude que tout axiomiatique d'une théorie (T) est incomplète, dans le sens où il existe toujours des vérités dans (T) indémontrables avec l'axiomatique de (T).

Or cette axiomatique implique la vérité de la possibilité d'évolution temporelle de toute théorie, par ajout récursif d'axiomes.

Ce qui nous intéresse alors ici c'est de considérer quel genre d'axiome pourrait venir compléter le cadre formé par la Mécanique Quantique + la RG, dans le domaine où leurs prédictions sont compatibles, afin qu'il puisse proposer un nouveau cadre permettant de les unifier, tout en sachant, qu'aussi précise que puisse être cette axiomatique, elle sera forcément elle aussi incomplète.


Cet axiome est celui d'une cinquième dimension, qui représente la dimension de liberté de l'observateur quant à l'observation de tout système physique, y compris un espace 4D. La question ne se pose même pas quant à sa justification, puisque n'étant pas inclue par définition dans une théorie 4D que sont la RG et la Méca Q,  la Cinquième dimension est indécidable d'un point de vue purement théorique, pouvant éventuellement se réduire à une dimension sans lien physique direct, elle pourrait n'être dans ce cas précis qu'un simple changement de référentiel quant aux objets étudiés.

La question qui se pose c'est pourquoi ? Pourquoi chercher une formalisation dans le sens d'une cinquième dimension ? Et sur cette question, la réponse n'est pas une réponse factuelle. La réponse est évidemment une réponse empirique, expérimentale qui justifierait son adoption. Mais même cette réponse est incomplète, car il manque la dimension de la motivation. La motivation n'est forcément pas purement expérimentale, elle est aussi théorique !

Parce que dans le cadre de la 5D où la liberté de l'observateur est l'axiome supplémentaire appliqué, c'est la motivation elle même qui est partie prenante de la formalisation, qu'elle soit empiriquement justifiée selon un système formel ou un autre, elle n'en fait pas moins partie du système formel ainsi défini.

Donc la 5D implique un espace nouveau, où la formalisation dépend de la motivation qui sous tend la description des phénomènes, et où donc, quoique parfaitement logiques dans leur description et parfaitement complètes dans leurs prédictibilité phénoménales, les systèmes décrits n'ont pas la même finalité.

On peut alors poser comme question fondamentale liée à cette formalisation : vers quel type de formalisation mène telle ou telle motivation, ce qui nous amène à définir le parcours de cette même motivation en rapport avec les autres axiomes, notamment l'espace et le temps, et sa dépendance quant aux systèmes auxquels elle s'attache le long de son évolution dans l'espace et le temps.

mardi 26 janvier 2010

5D "Observateur Luminique" 2ème partie

Dans la première partie nous avons rapidement vu qu'à partir d'un repère R, et en prenant des repères R' de plus en proches de C en vitesse relative, nous en étions arrivés à la conclusion que notre étoile devenait quelque chose de plus en petit au sein du disque galactique, allant de plus en plus vite, et que le disque galactique n'étant pas lui même totalement stable enserrait l'étoile dans un petit volume "qui bouge". Ce qui est localisé et lent dans R devient non localisé et très rapide dans R' au sein d'un volume lui même indéterminé mais moins...

Application dans R... Ce qui est visible petit, très petit, très rapide, non localisé, quoi qu'au sein d'un plus grand volume lui même non localisé mais moins, devient au niveau de ce point, pour un observateur local petit pour R, très grand, lent et déterminé. il n'y a aucune raison de ne pas en faire un lien symétrique si l'on veut considérer tous les repères comme étant équivalents.

Et nous avons rapidement vu que dans R' proche de C, la galaxie devenait de plus en plus petite, jusqu'à ce que la communication se coupe où là elle semble par exemple se transformer en trou noir. A partir de là le R' considéré la voit comme un trou noir comparable à une transformation de type sphère de riemann, et donc dans R l'observateur R' doit considérer que seul un photon peut s'échapper... Le photon est moins une notion de nature de l'objet qu'un lien dimensionnel entre deux objets physiques dans deux espace 4D séparés du point de vue de la forme mais semblable du point de vue de leurs composants, au sein de l'espace 5D qui est un espace de formes.

J'approcherai donc désormais un repère de référence en le nommant Rb pour "Repère Barycentrique" R' sera le repère "petit et rapide" avec son observateur relatif O', et R" sera le repère "grand et lent" avec O" son observateur relatif. Voir Rb selon R", équivaut alors à voir R' selon Rb.

Nous allons alors étudier comment se transforme notre objet commun nommé "galaxie" dans Rb par Ob vu selon O', Ob, et O", que nous considérerons comme étant "à peu près" centrés au même endroit (mais comme on l'a vu "ça bouge" selon le repère considéré !!!). Imaginez pour ce faire que O' serait une structure atomique très petite avec son laboratoire très petit, O un homme avec son laboratoire, et O" des particules allant à la même vitesse + même direction dans un tube d'espace, selon O, organisées en laboratoire, aussi proche de C que l'on veut (pensez à des neutrinos par exemple, ou ce genre de choses, le passage au photon étant la limite de ce qui sera perçu, ou un simple "saut" quand il n'y a plus rien de "différent" à observer).

Suite au prochain post

samedi 23 janvier 2010

5D "Observateur Luminique"

Nous allons maintenant nous placer dans la 5D... Notre espace est donc défini en chaque point par R(O,x,y,z,t) où O est notre observateur de référence. Comme par définition O ne bouge pas par rapport à l'espace qu'il observe, nous devons considérer que son horloge fait référence où qu'il soit. En 5D nous avons donc un centre objectif pour tout l'espace = l'observateur. Puisque tout objet qui n'est pas immobile par rapport à lui dans l'espace N'EST PAS dans le même espace d'observation, il est soit à t+delta t, soit à t-delta t, mais pour de petites vitesses devant C, delta t est faible et donc cette distance temporelle ne prend pas tout son sens.

En effet la Relativité nous pousse à décrire que R' (O',x',y',z',t') est tel que les distances spatiales et temporelles sont pour O' déduites de celles mesurées dans R en les multipliant par : Gamma = 1/racine(1-V²/C²), V étant la vitesse de R' relativement à R. Nous allons prendre ce résultat comme base.

Notre travail va consister maintenant à tenter de comprendre ce qui se passe dans R et dans R' quant aux observations des "mêmes objets". Nous supposerons que V est très proche de C, aussi proche que l'on veut, parce que notre objectif final sera de "sauter le pas" pour nous plonger dans C totalement...

Nous n'avons même pas à imaginer que O' accélère, il n'accélère pas, simplement nous considérerons des R' sucessifs à des vitesses de plus en plus proches de C. D'ailleurs l'accélération, même d'un objet continu qui perd de l'énergie régulièrement, a une limite par rapport à un référentiel initial, puisqu'on est borné par C en vitesse. L'accélération ne saurait donc être constante, simplement, forcément, pour tout objet, elle passe par un maximum quel que soit l'objet continu considéré, par rapport au référentiel initial.

Soit dans R l'ensemble des objets de vitesse faible par rapport à O. Alors dans O' ces objets sont transformés, écrasés selon la direction de V par Gamma, MAIS PAS SEULEMENT ! En effet l'horloge fait aussi que le t' de l'objet considéré est très petit ! Pour O' quand disons une étoile fait 1 milliard de tours sur elle même dans O, cela dure ... 0,001 seconde ou encore moins pour O' (aussi peu que l'on veut puisqu'on est aussi proche de C que l'on veut selon R').

Ecrasé dans une direction de la taille d'une particule aussi petite que l'on veut... Et étalé dans la direction perpendiculaire à la direction de V de la taille d'une étoile et plus ! (la lumière émise par l'étoile, doit faire aussi considérer qu'un "champ" semble émaner de cette particule pour O'). Mais en sus "l'étoile" (c'est une étoile pour R) TOURNE très très vite... Et même CHANGE de place très très vite (pensez en 1 milliard de tours sur elle même combien de tours galactiques l'étoile fait ?), à tel point qu'il est impossible de savoir où et quand on peut la trouver à part "à peu près" pas trop loin de l'endroit où on l'a perçue un peu plus tôt... à l'échelle de la Galaxie pour R, à l'échelle du rayon galactique selon R', d'un facteur cos(teta)/racine (1-V²/C²) où teta est l'angle que fait V avec le plan galactique...

Plus je prends un référentiel R' proche de C et plus ces notions de 1) rotation de l'étoile , 2) déplacement dans le plan galactique, et 3) écrasement de la distance selon la direction de V, font que mon étoile "perd une dimension" (écrasement d'une distance), et s'étale dans les 3 autres, la faisant ressembler à un truc qui se balade très très vite dans un petit un morceau de plan (le plan galactique), qui lui même étant "tournoyant" s'inscrit dans un petit volume...

Petit, rapide, imprévisible, centré mais étalé aléatoirement dans l'Espace, ça ne vous fait penser à rien ? Moi si.

A noter que sur de longues périodes de temps (dans R) on ne sait pas prédire ne serait-ce que le mouvement relatif de trois corps en "interaction gravitationnelle", pour cause de "cahos"... Dans R' cette indétermination prend des proportions considérables, quoiqu'il reste une présence relativement centrée autour du point de mesure initial (l'inertie dans R, se retrouve dans le centre aléatoire dans R').

INVERSEMENT.

Ce qui paraît "Petit, rapide, imprévisible, centré mais, étalé aléatoirement dans l'Espace" pour R' est en fait une Etoile se baladant tranquillement à un rythme de tortue dans sa Galaxie pour R.

R et R' étant équivalent, le voyage est bouclé... R et R' ne peuvent presque pas communiquer entre eux parce qu'il y a un brouillage de type "fractal", les mêmes choses sont là, exactement, mais n'ont pas du tout les mêmes propriétés ni spatiales, ni temporelles, ni donc même causales, ce qui est une seule chose dans R, semble être réparti un peu partout pour R' et inversement.

Et pour C ? Eh bien pour C c'est simplement Lim "max" de R', et le brouillage est total. En effet tout volume dans R aussi grand que l'on veut, constitué des objets de vitesse < C, se voit réduit de plus en plus quand on se place dans un R' proche de C, toute l'histoire de R se trouve accélérée, toute la causalité de R est perçue de façon cahotique et indiscernable dans R', tous les objets semblant s'éloigner de plus en plus vers O le centre de R, point de fuite de V, nous avons là la constitution d'un trou noir. Ce trou noir constitué dans un R' ayant la vitesse V =quasi C /R , simplement un "saut" en fait très continu, dans un R' proche, constitue dans un repère un saut discontinu parce que spatio temporellement brouillé pour les mêmes raisons, de l'émission d'un photon, ou dans l'autre l'effondrement final d'un trou noir. Ces deux repères choisis coupent définitivement tout lien causal direct existant entre les deux repères R et R', quoique représentant exactement le même Univers...

Ces deux repères R(O,x,y,z,t) et R'(O',x',y',z') se trouvent donc EXACTEMENT semblables d'un point de vue topologique / mathématique à une boule de Rieman posée sur une sphère, pour deux espace temps 4D, l'un plat, l'autre sphérique (relativement au premier) dans un espace 5D. Ces deux espaces sont EXACTEMENT LES MEMES, mais on passe de l'un à l'autre par une TRANSFORMATION DE TYPE RIEMANN.




Et pour être plus précis dans l'image comme je l'ai précisé en tout début de post, ce qui est perçu étant compris entre t-delta t et t+delta t :


Tout ce qui est dans le plan R' file à C - en fuite par rapport à O - tandis que dans le plan R', R est un trou noir. Inversement, il existe un repère R" filant à C dans R' relativement à O' quelconque dans R' (c'est bien un type de changement de repère sphérique centré et pas "uniforme" dans une direction donnée !) pour lequel R' est un trou noir. Pour autant dans R" la transformation de R inclu dans R' n'implique pas du tout que R soit un trou noir dans R". C'est la transformation des objets de tout R, qui se retrouve spatialement étalée dans l'espace R".

C'est pourquoi on ne doit pas parler de 5 dimensions mais de 10 directions. Ce n'est pas la même chose selon la vitesse relative dans R que de passer dans un R' à V ou -V, quant à la transformation de l'objet considéré. La direction de V prend un sens primordial. On ne peut plus raisonner sans la direction du vecteur.

Il faut alors considérer chaque objet physique comme étant réellement 1) Etalé dans tout l'espace, 2) Centré aléatoirement et 3) Constitué d'une énergie massique ou pas

Espace, Centre, Energie, sont donc les trois seules dimensions qui nous permettent de transformer tout objet spatialement étalé au sein d'un espace de référence R, en le composant unique ou mélangé à d'autres objets dans R', par une transformation de type Sphère de Riemann...

La suite bientôt ami lecteur (je sais tu n'es pas nombreux, et alors ?! :) )

dimanche 17 janvier 2010

Forme et Interprétation

Le tour qu'à pris l'interprétation de la théorie Relativiste, a consisté à donner une "existence en soi" aux corps physique. A tel point que, refusant d'intégrer la relativité jusqu'à ses conséquences ultimes on en est arrivé aux interprétations suivantes :

- La masse inerte d'un corps est invariante par changement de référentiel (on écrira "masse au repos" pour désigner la masse du corps considéré comme existant par lui même et donc "invariant" selon l'observateur, donnant ainsi "corps" à un référentiel privilégié pour considérer le corps étudié...)

- Inversement on a alors dû donner à l'énergie une place relative afin de "garder" le corps "intact" par changement de référentiel, l'énergie devient alors "relative"... Ce point de vue et cet interprétation ne sont pas compatibles avec la 5D.

- Ces notions ont conduit à donner une réalité dogmatique à la conception atomiste du monde (on cherche une "brique ultime" constituant la réalité) sous forme d'atomes, puis de quarks, puis aujourd'hui de "cordes" que l'on peine à faire émerger dans un monde à "10 dimensions"... Cette piste est erronée, parce qu'elle tente de donner à la réalité une nature indépendante de l'observateur.

- On en arrive forcément à séparer la description du monde en deux parties séparées (et plus), constituée des corps allant à des "vitesses inférieures à C", et des "vitesses allant à C", du fait de la mesure constante de la vitesse de la lumière quel que soit le référentiel. Pourtant cette interprétation de la mesure de C n'est valable que dans un domaine de vitesses proche de l'expérimentateur de référence.


Le photon considéré comme corps physique "à part" dans la Relativité 4D... A quelle surprenante révélation nous pousse la 5D quant la nature du photon ?

La 5D interprète les corps physiques comme étant relatifs à l'observateur considéré, qui lui même est relatif. La 5D n'aura pas de peine à considérer l'observateur comme changeant dans le temps en tant que somme de ses parties. Ainsi seul un "quelque chose" permet de faire le lien entre deux référentiel, et ce "quelque chose", n'est pas les corps physiques, il convient alors d'étudier ce qui se passe on considérant la réalité sous un angle global où l'observateur en est partie intégrante...

Pour ce faire nous allons devoir faire deux voyages extrêmes. L'un vers C, et nous allons atteindre C avec un observateur changeant, comme dans la réalité, pour décrire ce qui passe alors. Et l'autre vers V=0, mais le vrai V = 0, là où relativement à l'observateur de référence, l'observateur en voyage voit non seulement sa position s'annuler, mais aussi et surtout son horloge. Nous verrons comment nous pouvons l'imaginer, le concevoir, le faire, et ce que l'on peut interpréter du résultat.

Suite lors du prochain post.

mardi 12 janvier 2010

5D Ultimate Axiomatic Definition

Un événement en 4D est défini comme "existant par lui même" sous entendu indépendamment du référentiel considéré, et in fine donc de l'observateur considéré. Ainsi il est défini en tant que tel, et ses coordonnées (p,t) position temps (4D) sont relatives. Ceci ne peut-être pour au moins deux raisons fondamentales :

1) La contraction des longueurs qui fait passer tout objet au repos de rayon "r" dans une référentiel R, comme un objet ayant au moins une direction < longueur de planck = lp, dans un référentiel R' animé d'une vitesse > V tel que lp = r/(1-V²/C²)^1/2...

2) L'observateur joue un rôle dans toute mesure (MQ).

A°) Je pose donc que l'espace temps n'est pas indépendant de l'observateur (et de sa trajectoire), qui joue le rôle de repère de référence en RG. Aussi un événement de l'espace-temps est défini selon 5 dimensions (O,p,t), 0 = Observateur de référence, p = position spatiale (x,y,z), t = temps

Ainsi on ne peut définir un espace temps sans préciser son origine d'observation relative (observateur de référence), associé à son temps initial (t=0), et la dimension finale DF, et donc, le temps limite d'observation de l'objet considéré (DF = Ct).




Une façon de comprendre l'importance de cette axiomatique est liée notamment à la définition d'une horloge : Comment définir une horloge au Césium à une époque où près du Big Bang (dans l'espace temps local) il n'y a pas de Césium ? Repousser le problème en définissant une horloge à l'hydrogène reporte la question au temps pré-hydrogène... etc... De la même façon, quand l'observateur de référence n'est plus disponible, ou que l'horloge de référence vient à disparaître, on doit se rendre à l'évidence, les conditions de l'observation ont changé, et l'on ne peut plus parler alors du même objet sans biais.

B°) Les composants (spatiaux, matériels - énergétiques) de l'espace temps changent de forme dans le temps, dans l'espace, ou par rapport à l'observateur considéré.

La 5D abandonne l'idée d'un objet ou d'un événement existant "en soi", car selon l'observateur considéré, l'objet n'est pas observable. Il y a des objets non observables par un observateur de référence, et des objets non observés par des observateurs tiers.

L'exemple de ceci tient à la symétrie, et on a l'exemple des neutrinos. Les neutrinos (objets non observables) interagissent-ils pas ou peu avec la matière, ou bien est-ce la matière (de référence), qui n'intéragit pas ou peu avec les neutrinos ? Il n'y a pas de choix possible, la symétrie nous impose une qualité de la matière (objet non observé) semblable aux neutrinos, dans le repère associé aux neutrinos.

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